IMG E0261

La découverte du Naquadah a été une avancée capitale pour Atlantis. L’énergie de ce minerai pourrait être maîtrisée afin d’alimenter des armes et des équipements nouveaux conçus pour lutter contre les menaces. Le réacteur à Naquadah a été l’innovation la plus importante. Avec l’aide d’une race avancée, les Orbanians, Samantha Carter a construit un prototype fonctionnel qui a depuis été modifié pour s’adapter aux différents besoins de Atlantis.

Données Techniques

Longueur : 100 cm
Diamètre de la chambre : 30 cm
Hauteur: 50 cm
Poids : 32 Kg

Le concept du générateur à naquadah du SGC et de Atlantis ressemble à celui d’un générateur nucléaire. Il y a deux chambres, une à chaque bout, la chambre primaire et la secondaire. C’est là que la chaleur est convertie en énergie. Des câbles partant de chaque chambre canalisent l’énergie produite par la turbine.

Le Naquadah

Élément fondamental qui alimente le réacteur, c’est la source de puissance habituellement utilisée par les Goa’uld pour leur armes. Le Naquadah brut n’existe pas sur Terre, mais les équipes SG ont accès à quelques gisements grâce aux voyages par la porte des étoiles. Le SGC cherche en permanence d’autres sources possibles.

Origine

Quand le SGC a pris contact avec Orban, les deux planètes ont lancé un programme d’échange d’informations. Tandis que Teal’c et Daniel Jackson transmettaient au Orbanians leurs connaissances sur les Goa’uld et la civilisation de Teotihuacán, Merrin, une fillette urrone, aidait Samantha Carter à construire un réacteur à Naquadah à partir d’un générateur Orbanians.

Modifications

La technologie du réacteur apporté d’Orban était si avancée que Samantha Carter a dû remplacer certains de ses matériaux et dispositifs, qui n’existaient pas sur Terre. Un alliage de plomb et de trinium sert de bouclier antiradiations. Le liquide de refroidissement utilisé dans le réacteur Orbanians est inconnu sur Terre. Carter l’a remplacé par du sodium liquide.

Le boîtier du réacteur

Le boîtier du réacteur est un alliage de trinium et de plomb, qui sert de bouclier contre les radiations. La cellule sous pression du réacteur est également logée dans un robuste boîtier en trinium avec un couvercle en plomb. Ceci empêche toute fuite de gaz ou de liquides radioactifs dans l’atmosphère quand le naquadah et le sodium interagissent.

Réaction de fusion

Une fois placé dans un boîtier étanche en trinium, le naquadah se désintègre naturellement, comme l’uranium dans un réacteur nucléaire. Même si le naquadah peut parfois subir une fission spontanée, il peut aussi connaître une fission provoquée. Si un neutron libre rencontre un noyau de naquadah, celui-ci absorbe immédiatement le neutron, devient instable et se divise. Dès que le noyau a capturé le neutron, il se divise en deux atomes plus légers et rejette deux ou trois nouveau neutrons. Les deux nouveaux atomes émettent ensuite des rayons gamma. Quand un atome se divise, cela produit une énorme quantité d’énergie sous forme de chaleur et de rayons gamma. Les deux atomes résultant de la fission libèrent aussi des rayons bêta et gamma.
Pour alimenter un réacteur, le naquadah est préparé sous forme de boules du diamètre d’une petite pièce de monnaie. Les boules sont disposées en longues tiges, et les tiges réunies en faisceaux, qui sont immergés dans du sodium dans une cellule sous pression. Le sodium rappelons-le sert de liquide de refroidissement.

Contrôle de la chaleur

Pour que le réacteur fonctionne, la réaction en chaîne doit avoir commencé dans les faisceaux de naquadah immergés dans le liquide. Mais, si on le laissait faire, le naquadah surchaufferait et fondrait. Pour éviter cela, des tiges de contrôle en trinium sont insérées dans les faisceaux. Elles absorbent les neutrons et peuvent être abaissées ou relevées. L’opérateur gère ainsi le taux de la réaction nucléaire. Pour produire plus de chaleur, on relève les tiges hors du faisceau de naquadah. Pour une production moindre, on abaisse les tiges au milieu des faisceaux.

Le convertisseur

Les faisceaux de naquadah fonctionnent comme une source de chaleur à haute énergie. La vapeur fait fonctionner une turbine qui actionne un générateur pour produire de l’énergie. Puis la vapeur venant du réacteur traverse un échangeur de chaleur secondaire pour convertir une autre réserve de naquadah en vapeur, qui entraîne la turbine. La vapeur radioactive n’est jamais en contact avec la turbine.

Générateur de vortex

Quand les équipes SG visitent une planète sans cadran DHD, l’équipe a un petit générateur à naquadah pour composer manuellement le code d’accès de la Terre.