L’équipe SG-1 a découvert la zat’nik’tel lors de la mission 01.21 à bord d’un vaisseau de transport Goa’uld. Des recherches montrent que cette arme compacte qui tient facilement dans la main est de conception Goa’uld et qu’elle est appréciée des soldats Jaffa. Elle peut immobiliser, tuer ou désintégrer tout être vivant selon le nombre de coups tirés.

Caractéristiques techniques

Dimensions : Il comprend 3 sections. La partie inférieure repose dans la main, la partie centrale contient le mécanisme, la partie supérieure assure l’émission de la charge électrique bleue.
Hauteur : 22 cm x 6 cm x 25 cm [replié]
Hauteur : 30 cm [déplié]
Poids : 0.5 kg
Matériau : Naquadah

zat

Instructions d'utilisation

Le Zat'nik'tel est une arme de réserve chez les Jaffa, conçue pour remplacer leur long-bâton. Son utilisation est simple. Il suffit de placer la partie inférieur du pistolet dans la paume de la main, de presser une fois pour l'activer, et une deuxième fois pour tirer. Il est possible de tirer plusieurs coups rapides successifs. Les Goa'uld utilisent rarement cette arme pour tuer. Elle sert surtout à contrôler en infligeant une douleur vive et paralysante chez la victime. Les Jaffa n'ont pas besoin d'utiliser le zat'nik'tel, puisque la vue de cette arme suffit à effrayer les gens qui sont devenus leurs esclaves.

Fonctions mécaniques

Le Zat fonctionne grâce à un dispositif interne de charge portable qui permet d'envoyer des rayons d'énergie vers une cible particulière. La charge électrique pénètre dans la peau et libère une chaleur extrême. On s'est également aperçu, lors de l'épisode 04.19, qu'un tir de Zat peut altérer temporairement le champ électrique de toute cible. On peut donc l'utiliser pour protéger un être, un objet ou une zone d'espace contre les attaques d'une source d'énergie hostile.

Effets médicaux

La charge émise par un Zat est comparable à une très forte électrocution. Lorsque le courant électrique traverse le corps, la victime est prise de spasmes et de tremblements douloureux. La charge perturbe les fonctions normales du corps, causant des inhibitions musculaires ainsi que des problèmes respiratoires. Le sujet perd conscience pendant une période qui peut aller jusqu'à 20 minutes.
Une seconde charge entraîne un arrêt cardiaque mortel et une montée aiguë de la température. En cas de troisième attaque, le corps surchauffé brûle (peau, muscles, organes), avant de subir une combustion instantanée.